Du livre : L’étendard de la Communauté au sujet d’affaires importantes de Cheikh Bazmoul qu’Allah le protège
Le Second Sujet ou La Seconde Affaire (page 18-26)
Le fait d’apostasier (l’Arabie Saoudite) en s’appuyant sur les banques qui pratiquent l’intérêt, la mise sous écrit des contrats, leurs protections, et leurs autorisations
Certaines personnes tranchent donc, que la Nation (l’Arabie Saoudite) est (une Nation) Mécréante, car elle, (l’Arabie Saoudite) autorise l’intérêt, aux banques, et ils disent (les takfiris) que le fait que la Nation (l’Arabie Saoudite) rendre licite l’intérêt, est l’un des actes qui font devenir mécréant, et cela, donc, à cause de cette tolérance en directions des banques à intérêt.
Si l’on dit à celui-ci (Un takfiri qui prétend cela, ci-dessus) que l’intérêt fait partit des grands péchés, et qu’il ne rend pas mécréant, selon l’avis de tous les Savants !
Il dira : « Certes, mais mettre sous écrit (ces contrats) cette interdiction qui comporte l’intérêt, est une preuve qu’il rend licite (cette interdiction).
Et la preuve que la mise sous écrit d’un contrat qui comporte d’intérêt, et le protège, est une preuve de l’Istihlal (rendre la chose licite alors qu’Allah ta’ala l’a rendu illicite) vient du fait que l’Envoyé (salla llahou ‘alayhi wa sallam) a juger mécréant celui qui a épousé la femme de son père (après lui), car (pour ce mariage) il a fait cela avec un contrat.
Il est connu que le fait d’épouser celle qui est illicite n’est pas de la mécréance (qui fait sortir de l’Islam) mais lorsqu’il a contracté avec elle, et écrit le contrat, alors il a fait de l’Istihlal, et il est donc sortit (par ce contrat, mise sous écrit) de la religion, c’est ce qui est parvenu dans le Hadith suivant :
De Yazid Ibn el-Bara de son père a dit : « J’ai rencontré mon oncle avec un drapeau, je lui ait demandé « Où veux tu aller ? » Il répondit « Le messager d’Allah (salla llahou ‘alayhi wa sallam) m’a envoyé à un homme qui a épousé la femme de son père après lui, pour que je frappe sa tête (que je le tue), et que je prenne ses biens. » Ahmed et d’autres….
De Moua’wiyya Ibn Qourra de son père a dit : « Le Messager d’Allah (salla llahou ‘alayhi wa sallam) m’a envoyé auprès d’un homme qui a épousé la femme de son père pour que je frappe son coup et que je prenne ses biens. » Ibn Madjah »
(C’est ainsi qu’il, le sectaire, répond et argumente)
Ils (les kharijites takfiris) se sont donc appuyés sur ce mariage, ce contrat (de mariage illicite) et ils ont donc, désignés comme base de l’Istihlal (celui qui fait sortir de l’Islam), le contrat et ils disent : « Ainsi dans les banques à intérêts, le contrat illicite est mis sous écrit, le contrat à intérêts, puis il est défendu, protégé, et celui qui diverge est puni. » (C’est donc pour eux, les sectaires de Kharijites takfiris une preuve de l’Istihlal, celui qui fait sortir de l’Islam)
Ils ont donc, désignés le fait de donner l’autorisation aux banques à intérêts, cela, comme une preuve de l’Istihlal (rendre la chose licite alors qu’Allah ta’ala l’a rendu illicite).
Je dis, demandant l’aide d’Allah ta’ala :
Je vois qu’il est impératif d’exposer plusieurs affaires afin de mettre en avant la vérité concernant cela, jusqu’à l’éclaircissement de cela, par la permission d’Allah ta’ala.
Premièrement : Les sortes d’Istihlal :
Il est impératif que tu saches que l’Istihlal est une affaire relative à la croyance, au cœur, et il est de deux sortes :
La première sorte : l’Istihlal qui rend mécréant et donc, qui fait sortir de la religion, a une norme, son statut, qui est que la personne sache que la chose en question est prohibé, rendu illicite par Allah ta’ala, puis, lui (malgré sa science que cela est illicite), croit que cela est licite.
La seconde sorte : L’Istihlal qui ne fait pas sortir de l’Islam, qui est l’Istihlal dans la pratique, c’est-à-dire, qu’il fait le péché, tout en reconnaissant son caractère de péché (désobéissance à Allah ta’ala), (tout en reconnaissant) qu’il est un pécheur (désobéissant), (tout en reconnaissant) qu’il mérite d’être puni (par Allah ta’ala).
L’Istihlal dans la pratique, peut donc être présent auprès du croyant, mais (dans ce cas), il ne mérite pas le nom de foi de manière absolue, toutefois, c’est un croyant pervers (mais croyant quand même à l’inverse des dires des sectaires de takfiris).
Ibn Taymiyya, qu’Allah ta’ala lui fasse miséricorde a dit : « Vraiment, le croyant doit être en garde concernant l’Istihlal (qui est une) des désobéissances à Allah ta’ala, et qu’il sache que cela, fait partit des plus grandes causes de châtiment, cela (l’Istihlal) exige l’une des plus grandes erreurs et désobéissances. »
L’Istihlal : est une croyance (du cœur) que (les péchés rendus illicites par Allah ta’ala) sont licites pour sois ; et cela, est des fois avec croyance (du cœur) qu’Allah ta’ala l’a rendu licite pour sois (alors qu’Allah ta’ala l’a rendu illicite), des fois, avec croyance (du cœur) qu’Allah ta’ala, ne l’a pas rendu illicite pour sois (alors qu’Allah ta’ala l’a rendu illicite), des fois, sans croyance (du cœur) qu’Allah ta’ala l’a rendu illicite (Alors qu’Allah ta’ala l’a rendu illicite).
Et cela, engendrera une imperfection dans la foi dans la Seigneurie, ou dans la foi dans le message.
Et c’est un désaveu pur qui n’a pas de fondement.
Et des fois, il sait qu’Allah ta’ala l’a rendu illicite, et que le Messager (salla llahou ‘alayhi wa sallam) a rendu illicite ce qu’Allah ta’ala a rendu illicite, puis, ensuite, il s’obstine à ne pas rendre obligatoire à lui-même cette interdiction, et se rebiffe contre cette interdiction, et cela, est de la mécréance bien pire que celle d’avant (évoqué ci-dessus).
Et cela, peut avoir lieux, alors qu’il sait que celui qui ne rend pas obligatoire cela à lui-même, cette interdiction, sera puni et châtié par Allah ta’ala.
Ensuite, cette obstination, cette arrogance, peut être une imperfection de la croyance dans la sagesse de l’ordre (en question), et (la sagesse) de sa puissance, et cela revient au fait de ne pas certifié l’un des Attributs (Divins, d’Allah ta’ala).
Cela, (cette obstination à ne pas rendre obligatoire le jugement en question à soi-même) peut venir, (d’une personne) qui sait tout cela, (mais par) rébellion, ou par suivi de sa passion (s’obstine à ne pas rendre obligatoire le jugement en question à soi-même), c’est de la mécréance.
Car, il reconnaît Allah ta’ala, Son Messager (salla llahou ‘alayhi wa sallam), avec tout ce qui a été informé (concernant cela, Allah ta’ala et Son Messager (salla llahou ‘alayhi wa sallam)), et il rend véridique tout ce qui est rendu véridique par les croyants, mais il déteste cela, et se met en colère suite à sa non-conformité, et suite à ce qu’il convoite, et il dit : «Je ne reconnaît point cela, je ne le rend pas obligatoire à moi-même et j’abomine cette vérité, je fuis cela.»
Et cela, n’est pas de la première sorte ; le fait d’apostasier (une telle personne) est connu, et nécessaire dans la religion Musulmane, et le Coran est rempli de cas comme celui-ci, et le châtiment (d’une telle personne) est plus dur, et concernant cela il a été dit : « La pire des personnes en châtiment le jour du jugement, est le savant à qui Allah ta’ala ne lui a pas fait profiter de sa science. » Et c’est Ibliss (le diable) et ceux qui ont empruntés son chemin.
Avec cela, il apparaît clairement, la différence entre le désobéissant, celui-ci croit dans l’obligation de l’acte (à lui-même), il aime ne pas l’appliquer, à cause de ses passions, et de sa fuite, qui l’empêche d’être en harmonie (avec cet acte), il vient, certes, avec la foi, la véracité, l’humilité, la soumission, c’est une parole, une action, mais il ne l’a complète pas. » Fin de citation de Ibn Taymiyya, qu’Allah lui fasse miséricorde, amine.
Deuxièmement : la certitude ne disparaît pas par le doute :
Et certes, cela a été appuyé, par le Hadith du Messager d’Allah ta’ala (salla llahou ‘alayhi wa sallam), dans ce chapitre qui touche les Gouverneurs :
De Djounada Ibn Abi Oumayya a dit : Nous sommes rentrer auprès de Ou’badata Ibn Samit alors qu’il était malade, nous dîmes : qu’Allah ta’ala te rétablisse, évoques une parole qu’Allah ta’ala par elle, te fasse profité, que tu as entendu du Prophète (salla llahou ‘alayhi wa sallam), il dit : Le Prophète (salla llahou ‘alayhi wa sallam) nous a invité, nous lui avons donner allégeance, il dit : Nous avons donner allégeance, dans l’écoute et l’obéissance dans nos (moments) de courage, de contrainte, de difficultés, de facilités, et lorsque l’on fait mention de nos actes mémorables, de ne pas rentrer en litige avec les Détenteurs de l’ordre sauf lorsque l’on voit une mécréance évidente sur laquelle il y a une preuve d’Allah ta’ala. »
Ce Hadith expose très clairement, que la base concernant le Gouverneur Musulman, est le jugement qu’il est Musulman, et qu’il ne faut pas le faire sortir de cela (la foi, l’Islam) sauf avec certitude : « sauf lorsque l’on voit une mécréance évidente sur laquelle il y a une preuve d’Allah ta’ala. »
Suite à cela, les suppositions, les doutes, ne permettent pas de juger le Gouverneur de mécréant, et tant que la situation est ainsi, il faut revenir à la base, qui est de le juger Musulman.
Et concernant le fait de rendre mécréant le Musulman, sur lequel, la véracité de sa mécréance n’est pas prouvé, il y a le Hadith suivant du Messager d’Allah ta’ala (salla llahou ‘alayhi wa sallam) :
« Celui qui dit à son frère « Mécréant » cela se retourne contre l’un des deux. » El-Boukhari
Troisièmement : les modes de spéculation et de raisonnement :
Il n’est pas authentique d’extraire du Verset et du Hadith (de quoi rendre mécréant), seulement après avoir complété quatre contextes (ou conditions) qui sont :
1 : La confirmation de la véracité du texte (en question)
2 : La confirmation de l’authenticité de la manière d’extraire (les preuves)
3 : La confirmation que le texte (en question) n’est pas abrogé
4 : La confirmation que le texte (en question) est valide (dans sa compréhension) face à son exposition aux autres textes
Donc, cela est permanent, et le fait d’extraire (des textes) de quoi rendre mécréant l’état, (par ce qui a été évoqué concernant les banques) est donc caduc sauf après avoir rempli ces quatre contextes (conditions), et sur cela, je dis :
Quand à ce Hadith, il est indéniable, et n’est point abrogé.
Il reste une spéculation concernant la confirmation de l’authenticité de la manière d’extraire (cette preuve) et dans la confirmation que le texte (ce Hadith qui sert de preuve) est valide (dans sa compréhension) face à son exposition aux autres textes.
Alors que ne grouille pas ce sur quoi ils se sont appuyés (ils ont peut d’argument), en voici l’éclaircissement :
La prétention (des excommunicateurs) : est que l’annulation de l’Islam concernant les banques à intérêts est le résultat de l’Istihlal (celui qui fait sortir de l’Islam comme rendre la chose licite à soi-même alors qu’Allah ta’ala l’a rendu illicite par exemple) de l’intérêt, justement à cause de la mise sous écrit des contrats (à intérêts).
Selon eux, (toujours et encore), la mise sous écrit du contrat est une preuve de l’Istihlal (qui fait sortir de l’Islam) et sa protection par le faux, ainsi que sa défense, voilà leur prétention !!
Si tu exposes (clairement) que la mise sous écrit du contrat faux concernant une chose illicite n’est pas une preuve de l’Istihlal (qui fait sortir de l’Islam) alors, leur manière d’extraire sera caduc, justement, suite (à la vrai compréhension du) au Hadith de El-Bara (plus haut dans le texte).
Si tu exposes (clairement) que le fait de défendre le faux, le protéger, le fait d’être vigilant vis-à-vis de celui-ci (le faux) malgré (le fait) qu’il va à l’inverse de la législation d’Allah ta’ala n’est pas (forcément) quelques chose qui annule la certitude de l’Islam, alors leur parole (prétention des excommunicateurs) sera désuète.
Je vais t’exposé cela ici, donnes moi ta concentration :
Tu sais, qu’Allah me pardonne ainsi qu’à toi, que la problématique concernant le fait de juger par d’autres lois que les lois d’Allah ta’ala, comporte deux formes, une forme qui est au centre d’un consensus, et une forme qui est au centre de divergences.
La forme qui est au centre d’un consensus : C’est celle d’un juge, qui dans une affaire, dans deux affaires, juge par autre chose que les lois d’Allah ta’ala, suite à la passion, ou pour un but terrestre.
Ici, le consensus ne rend pas mécréant l’auteur (de cela) alors qu’il y a, ici, un contrat concernant le jugement, qui est rendu obligatoire au jugé, et il sera puni, donc, s’il ne l’applique pas, ici.
Concernant la forme sur laquelle il y a divergence : C’est la forme ou il y a législation général, Ibn Baz et El-Albani, qu’Allah ta’ala leur fasse miséricorde, voient que cela rentre dans la première forme (qui est au centre d’un consensus, ci-dessus), (c’est-à-dire) C’est de la mécréance moindre (qui ne fait pas sortir de l’Islam).
D’autres parmi les gens de science, voient que c’est une grande mécréance qui fait sortir de l’Islam, que c’est de la mécréance dans l’éloignement et l’évitement.
Médites, qu’Allah ta’ala te concilie (sur la vérité), le consensus des Savants ne rend pas mécréant le juge alors qu’il émane de lui un document (contrat, titre) dans son pouvoir.
Et ce titre (en arabe : Sakkoun ) est plus important, imposant qu’un contrat (en arabe : A’qdoun), (pourtant) ils ne l’ont pas excommuniés (le consensus des savants) alors qu’il protège ce titre faux, le défend, et puni qui va à son encontre (suite à son jugement par passion, péché).
Cela, donc, va à l’inverse de leur manière d’extraire (leur ambiguïté ou pseudo preuve) du Hadith de El-Bara (afin d’excommunié).
Si le fait de mettre sous écrit un contrat faux est une preuve de l’Istihlal (l’Istihlal qui rend mécréant), les savants ne seraient donc pas unanimes concernant le juge qui juge avec autre que les lois d’Allah ta’ala, concernant une ou deux affaires, alors qu’il y a un titre, il n’est donc pas apostasié, d’une mécréance, donc, qui fait sortir de l’Islam.
Il y a dans cela, une preuve que le fait d’excommunié à l’aide du Hadith de El-Bara, ne vient donc pas du fait de mettre sous écrit le contrat (comportant des clauses mécréantes), sinon, le jugement (de rendre mécréant) serait tomber concernant le juge (évoqué ci-dessus, et il n’y aurait donc pas de consensus des gens de science).
C’est une chose, (et maintenant) :
De El-Ahnaf Ibn Quayss a dit : « Je suis partit pour secourir cet homme, Abou-Bakra m’a rencontré et dit : Ou vas-tu ? J’ai dit : Secourir cet homme, il dit : Retourne (sur tes pas) car j’ai entendu le Messager d’Allah ta’ala (salla llahou ‘alayhi wa sallam) dire : « Si deux Musulmans se rencontrent (combattent) avec leurs épées (réciproques), alors le tueur et le tué sont dans le feu. Je dis : Messager d’Allah (ta’ala) – (salla llahou ‘alayhi wa sallam), c’est le tueur mais le tué ? Il dit : Il était avide afin de tué celui-ci (celui qui l’a tué). » » El-Boukhari
Dans ce Hadith, il y a concernant celui qui est avide et qui défend avec son cœur et ses actes le faux (ici : tuer son frère Musulman), (le fait) qu’il n’est pas apostasié (qu’il est toujours Musulman).
N’as-tu pas vu que le Messager d’Allah ta’ala (salla llahou ‘alayhi wa sallam) commence sa parole par « Si deux Musulmans », ils sont avec leurs actes, toujours dans le domaine de la foi (ils sont toujours des Musulmans malgré cela, cet acte horrible et grave, très grave).
Il en est de même pour les Banques (à intérêts), le fait d’être attentif (vis-à-vis de ces banques), et de les défendre, on ne rend pas mécréant celui qui fait cela, malgré le fait qu’il commet un grand péché, un énorme péché.
C’est une seconde chose, (et maintenant) :
De Oummi Salama a dit : « Le Messager d’Allah ta’ala (salla llahou ‘alayhi wa sallam) a dit : « Vous vous plaignez auprès de moi, et peut-être qu’il y a parmi vous des personnes qui sont plus habiles avec leurs arguments que d’autres, et je ne juge que selon ce que j’entend de lui. Celui dont j’ai donner du droit de son frère quelque chose (par erreur de jugement suite à la loquacité de l’autre), alors qu’il ne le prenne pas, car je lui promets une parcelle de feu. (À travers cela) » » El-Boukhari
Dans ce Hadith, celui qui enjolive le faux, le défend, jusqu’à le rendre comme la vérité, et qui prend le Messager d’Allah (salla llahou ‘alayhi wa sallam) comme juge afin qu’il tranche, alors que la vérité ici, est fausse, et bien, celui qui fait cela, n’est pas mécréant.
Il en est de même pour le fait d’excommunié en s’appuyant sur les banques à intérêts, on ne rend pas mécréant à cause du fait que le faux est enjolivé, et exposé comme une vérité ; il reste sur sa situation (de Musulman).
C’est une troisième chose, (et maintenant) :
Avec ces points, tu sais que donner l’autorisation aux banques à intérêts (d’exercer) ne prouve pas l’Istihlal qui fait sortir de l’Islam !
S’il est fixe auprès de toi ce que je viens d’évoquer dans ces trois (cas de figure, ci-dessus), ce qui clarifie l’inexistence de validité de leur manière d’extraire (une pseudo preuve afin d’apostasié en s’appuyant sur) le Hadith de El-Bara, justement face à son exposition aux autres textes.
Alors, il t’apparaît clairement, l’inexistence de véracité de leur propos (ambiguïté) sur le fait que mettre sous écrit l’intérêt dans les banques, de le protégé, et de le défendre, est de l’Istihlal (qui fait sortir de l’Islam), (ce n’est donc pas une preuve de l’Istihlal (l’Istihlal qui rend mécréant)).
Ce n’est que (leur ambiguïté) le résultat de la spéculation, de l’imagination, et du doute.
Cela ne repousse pas la vérité, la base certifié, le fixé, que le royaume d’Arabie Saoudite est une Nation Musulmane, son Gouvernement, et son peuple, nous restons sur la certitude, et Allah ta’ala est Celui qui harmonise.
Bénéfice :
S’il t’est dit, d’où vient le fait d’excommunié dans le Hadith de El-Bara (si ce n’est pas le simple fait du contrat) ? Et bien, la réponse, c’est l’Istihlal (l’Istihlal qui rend mécréant), et le Messager (salla llahou ‘alayhi wa sallam) l’a su par un ordre invisible (révélation), et nous n’avons devant nous que ce qui est apparent. (Suite aux autres textes qui confirment cela)
Dans les affaires de l’Imam Ahmed, qu’Allah ta’ala lui fasse miséricorde, rapportées par son fils Abdullah, qu’Allah ta’ala lui fasse miséricorde, celui-ci, dit : « J’ai interrogé mon père concernant l’homme qui se mari avec une (femme qui lui est) illicite, alors qu’il ne le sait pas, et qu’ensuite, il en devient informé.
Il répondit : « S’il l’a fait exprès, on lui frappe son coup (la mort) et on lui prend ses biens (c’est le juge et l’état Islamique qui font cela), et s’il ne le savait pas, alors ils doivent êtres séparés. »
J’ai dit à mon père : Le Hadith de El-Bara : Un homme s’est marié avec la femme de son père ? Il dit : Voilà celui qui savait, s’est marié avec la femme de son père, et cela n’est qu’avec science (et non par ignorance / comme il, l’Imam Ahmed, le dit : et s’il ne le savait pas, alors ils doivent êtres séparés).
J’ai interroger mon père (l’Imam Ahmed) sur le Hadith du Messager d’Allah ta’ala (salla llahou ‘alayhi wa sallam) : « Un homme s’est marié avec la femme de son père, il ordonna (salla llahou ‘alayhi wa sallam) de le condamné à mort, et la saisie de ses biens. »
Mon père dit : « Nous voyons, et Allah est plus Savant, qu’il a fait cela par Istihlal (l’Istihlal qui rend mécréant), il a donc ordonné de le condamné à mort, au niveau (donc) de l’apostat et a saisi ses biens ».
Note : Ici, le Savant, l’Imam Ahmed, qu’Allah ta’ala lui fasse miséricorde fait donc allusion à la première sorte d’Istihlal, évoquée ci-dessus, qui rend mécréant et donc, qui fait sortir de la religion, qui a bien évidemment une norme, un statut, qui est que la personne sache que la chose en question est prohibé, rendu illicite par Allah ta’ala, puis, lui (malgré sa science que cela est illicite), croit que cela est licite.
Mon père a dit : « Ainsi, celui qui apostasie, sa famille n’hérite pas de lui, car le Prophète (salla llahou ‘alayhi wa sallam) a dit : « Le Musulmans n’hérite pas du mécréant et le mécréant n’hérite pas du Musulman. » Massa-il el-Imam Ahmed
Fin du texte de Cheikh Bazmoul, qu’Allah ta’ala le protège