C’est pas parce que quelqu’un est gentil, qu’il donne à manger aux pauvres, qu’il défends ce que l’Occident mécréant appellent valeurs universelles ou droits de l’homme, qu’il est un homme agréé par Allah, son Créateur et le Créateur de ses actions.
Aucune action d’un mécréant ou un polythéiste n’est accepté d’Allah tout simplement parce qu’il ne croit pas en Allah.
Ainsi tu sais que ce qui importe c’est d’avoir la croyance authentique en Allah et à son Messager, ceci n’est possible qu’en apprenant les livres sur le Tawhid et la Aquida des gens de la sounnah.
– Allah a dit dans la sourate Ibrahim n°14 verset 18: « Les oeuvres de ceux qui ont mécru en leur Seigneur sont comparables à de la cendre violemment frappée par le vent dans un jour de tempête. Ils ne tireront aucun profit de ce qu’ils ont acquis. C’est cela l’égarement profond ».
– Allah a dit dans la sourate Tawba n°9 verset 54: « Ce qui empêche leurs aumônes d’être acceptées de leur part est qu’ils ont mécru en Allah et son Messager ».
– Aicha (qu’Allah l’agrée) a dit au Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui): Ô Messager d’Allah! Ibn Joud’an liait les liens de parenté et nourrissait les pauvres dans la jahiliya (), est-ce que ceci va lui profiter? Le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) a dit: « Non, certes il n’a jamais dit: Seigneur pardonne moi mes péchés le jour de la résurrection (*) ».
(Rapporté par Mouslim dans son Sahih n°214)
(*) C’est à dire la période avant l’Islam.
(**) L’imam Nawawi a expliqué dans Charh Sahih Mouslim que le sens du hadith est que ce qu’il faisait comme respect des liens de parenté, comme nourriture pour les pauvres et comme générosité ne lui servira à rien dans l’au-delà car il était un mécréant et ceci est le sens de la parole du Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui): « il n’a jamais dit: Seigneur pardonne moi mes péchés le jour de la résurrection ».
D’après Anas Ibn Malik (qu’Allah l’agrée), le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) a dit: « Certes Allah n’est pas injuste envers le croyant concernant la bonne action. Il donne par celle-ci dans la vie d’ici bas et il récompense pour elle dans l’au-delà.
Par contre en ce qui concerne le mécréant, il est nourrit dans la vie d’ici bas pour les bonnes actions qu’il a faites pour Allah et ainsi le jour du jugement il n’aura plus de bonne action par laquelle il sera récompensé ».
(Rapporté par Mouslim dans son Sahih n°2808)