Première réfutation du philosophe peuhl ignorant oustaz bhouria de Belgique qui fait les éloges et appelle à ibn arabi …
 
C’est le soufi invétéré, mieux un des extrémistes soufis. C’est Muhammad ibn Ali at-Taï al-Andalousi.
Les ulémas nous l’ont fait découvrir à la suite d’une question qui leur avait été posée en ces termes : « Que disent les maîtres, dirigeants de la religion et guide des musulmans à propos d’un livre qui a été présenté aux gens et dans lequel l’auteur prétend l’avoir établi avec l’autorisation du Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) donnée au cours d’un rêve dans lequel il l’aurait vu. Pourtant la majeure partie du contenu de son livre est contraire à ce qu’Allah a révélé dans Ses livres et opposé aux propos de Ses Prophètes ?
 
Il dit dans son livre : « Adam a été appelé insaan (homme) parce qu’il était par rapport au Vrai comme la prunelle pour l’œil qu’il permet de voir. »
Ailleurs, il dit : «le Vrai qui transcende la ressemblance est la créature qui assimile (le Créateur aux créatures) ».
Il dit à propos du peuple de Noé : « S’ils avaient abandonné l’adoration de Wudd, de Souwa, de Yaghouth et de Yaouq, ils auraient fait preuve d’une plus grande ignorance à l’égard du Vrai qu’avant leur abandon (du culte incriminé) ».
 
Voir Aquidatou Ibn Arabi wa hayatouh par Taquiddine al-Fassi, p. 15 et 16).
 
Ibn Taymiyya dit : « Les chrétiens, les Juifs et les Musulmans connaissent nécessairement que dans la religion des Musulmans, quand quelqu’un dit d’un être humain qu’il est une partie d’Allah, il devient mécréant, selon toutes les religions (révélées). Même les chrétiens ne l’ont pas dit, malgré l’énormité de leur mécréance. Personne n’a dit que les créatures font essentiellement partie du Créateur, ni que le Créateur est aussi le créé ni que le Vrai qui transcende l’assimilation est en même temps la créature qui assimile (Allah aux créatures).
Il en est de même de ses propos selon lesquels si les polythéistes cessaient de pratiquer le culte des idoles, ils feraient preuve d’une ignorance due ) à leur abandon de ce culte. Ceci renferme une mécréance que toutes les religions (révélées) reconnaissent, dans la mesure où elles sont toutes d’accord que tous les messagers ont interdit la pratique du culte des idoles et jugé mécréant celui qui s’y livre et enseigné que l’on n’est réellement croyant qu’au prix d’une rupture totale avec le culte des idoles et celui de tout autre objet d’adoration en dehors d’Allah. A ce propos, le Très Haut dit : « Certes, vous avez eu un bel exemple (à suivre) en Abraham et en ceux qui étaient avec lui, quand ils dirent à leur peuple: « Nous vous désavouons, vous et ce que vous adorez en dehors d’ Allah. Nous vous renions. Entre vous et nous, l’inimitié et la haine sont à jamais déclarées jusqu’à ce que vous croyiez en Allah, seul ». Exception faite de la parole d’Abraham (adressée) à son père: « J’implorerai certes, le pardon (d’Allah) en ta faveur bien que je ne puisse rien pour toi auprès d’Allah ». « Seigneur, c’ est en Toi que nous mettons notre confiance et à Toi nous revenons (repentants). Et vers Toi est le Devenir. » (Coran, 60 : 4).
 
Il (Ibn Taymiyya) a également tiré des arguments d’autres versets avant de poursuivre : « Celui qui affirme que « si les polythéistes cessaient de pratiquer le culte des idoles, ils feraient preuve d’une ignorance à la mesure de la gravité de leur abandon de ce culte », celui-là est plus mécréant que les Juifs et les Chrétiens. Car Juifs et Chrétiens jugent les polythéistes infidèles. Que dire alors de celui qui fait de l’abandon du culte des idoles un indice de l’étendue de l’ignorance de son auteur ?! Celui qui dit en plus que le « connaisseur connaît l’Adoré, quelle que soit la forme sous laquelle Il se manifeste au moment de l’adoration, puisque la diversité et la multiplicité sont comparable à l’état des organes (constitutifs d’un corps) dans les images perceptibles ; elles sont aussi comparables à la force morale dans la représentation spirituelle. Par conséquent, rien n’est adoré dans l’objet du culte qu’Allah lui-même ».? Celui-là est plus mécréant que les polythéistes dans la mesure où ceux-ci utilisaient leurs idoles à titre d’intermédiaires (auprès d’Allah) comme ils disaient : « Nous ne les adorons qu’afin qu’ils nous rapprochent davantage d’Allah » (Coran, 39 : 4). A ce propos le Très Haut dit : « Ont- ils adopté, en dehors d’ Allah, des intercesseurs? Dis: « Quoi! Même s’ ils ne détiennent rien et sont dépourvus de raison? » (Coran, 39 : 43). Mais ils reconnaissaient qu’Allah était le créateur des cieux, de la terre et des idoles comme le confirment les propos du Très Haut: « Si tu leur demandais: « Qui a créé les cieux et la terre? », Ils diraient assurément: « Allah ». Dis: « Voyez- vous ceux que vous invoquez en dehors d’ Allah; si Allah me voulait du mal, est- ce que (ces divinités) pourraient dissiper Son mal? Ou s’ Il me voulait une miséricorde, pourraient- elles retenir Sa miséricorde? » – Dis: « Allah me suffit: c’ est en Lui que placent leur confiance ceux qui cherchent un appui ». » (Coran, 39 : 38).
La source susmentionnée, p. 21-23.
 
Ibn Khaldoum a dit : « Parmi les soufis figurent Ibn Arabi, Ibn Sabiine, Ibn Barradjan et leurs adeptes acquis à leurs thèses. Ils sont auteurs de nombreux écrits qui circulent entre eux. Ces écrits sont bourrés d’une mécréance évidente, d’écœurantes innovations et d’une interprétation des sens apparents très mauvaises et peu vraisemblables. Ce qui conduit celui qui les regarde à trouver étrange qu’on les attribue à la religion et les considère comme une partie de la Charia ».
La source susmentionnée, p. 41.
 
Abou Zour’a fils d’Al-Hafiz al-Iraqui a dit : « Le célèbre al-Foussous contient sans aucun doute une mécréance indiscutable parce que claire, et il en est de même de ses Foutoulat al-makiyya. Si leur attribution à l’auteur est authentique et qu’il ait adhéré à ses idées jusqu’à sa mort, il est un mécréant qui sera éternellement maintenu en enfer sans aucun doute. »
La source susmentionnée, p. 60.