Al Imâm Shaykh Al-Albâni
Il a dit: Participer aux élections c’est se pencher vers les injustes car le système parlementaire et le système électoral, tout mouslim qui a un peu d’éducation islamique authentique, tout mouslim sait que le système parlementaire et le système électoral ne sont pas des systèmes islamiques. [Extrait de la cassette intitulée « khatar al mouchâraka fil intikhâbât wal barlamânât » (le danger de participer aux élections et aux parlements)]
Et il a dit: Nous ne conseillons pas! Nous ne conseillons pas! De faire de la politique aujourd’hui, dans n’importe quel pays islamique.
Madârik an-nadhar fi siyâsa p. 345
 
Al Imâm Shaykh An-Najmi
Il a dit: Neuvièmement: Leur croyance au système démocratique occidental dans la consultation populaire, et que celui qui a le plus de voix c’est lui qui a la légitimité – selon leur vision des choses – Même s’il n’a qu’une voix ou deux de plus. Et leur croyance que ceci (le nombre de voix) impose la légitimité!! Quelle légitimité a-t-il acquis par cela? Al mawrid al a’dzbou az-zalâl
 
A Imâm Shaykh Moqbil Al-Wâdi’i
Il a dit: Les élections et le vote sont des tâghout [2] et peu importe qui vous le permet.
Ghâratoul achrita vol. 1 p. 353
Et il a dit : Est-ce que les élections existaient à l’époque du messager d’Allah ou à l’époque d’Abou bakr et ‘Omar ou à l’époque de l’état omawite ou abassite et ainsi de suite?
Certains dans les pays mécréants, le vote les a menés jusqu’à rendre licite l’homosexualité[3] et le mariage d’un homme avec un homme, à la légalisation de l’alcool, des banques à riba et de tout ce qui peut découler des élections. Et le Seigneur de la puissance dit dans son noble livre: Est-ce donc le jugement du temps de l’Ignorance qu’ils cherchent? Qu’y a-t-il de meilleur qu’Allah, en matière de jugement pour des gens qui ont une foi ferme? al Mâ’idah v. 50
A toi il t’est demandé de te maintenir sur la droiture, et Allah exalté et élevé soit il dit à son prophète Mohammad ﷺ : Demeure sur le droit chemin comme il t’est commandé. Houd v 112
Et Il dit aussi: Cherchez le droit chemin vers Lui. Al fousillât v 6
Il nous est donc ordonné de nous maintenir sur le livre et la sounna, Allah – exalté et élevé soit-il – dit: Et si Nous ne t’avions pas raffermi, tu aurais bien failli t’incliner quelque peu vers eux. Al isra v 74
Et quelle a été la conséquence des élections en Afghanistan? Et quels ont été les fruits des élections dans beaucoup de pays islamiques? Pire que cela, les élections sont une passerelle vers la démocratie.
Touhfatoul moujib p. 244 à 246
Il a dit aussi: il n’est pas salafy alors qu’il appelle aux élections, celui-là n’est pas salafy, c’est plutôt un philosophe.
Ghâratoul achrita vol. 2 p. 20
 
Al Imâm Shaykh Mohammad Amân Al-Jâmi
Il a dit: Nous avons démontré qu’il n’est pas permis de se présenter comme un égal à Allah et de lui ressembler dans Sa législation en mettant des hommes qui légifèrent des lois autres que celle d’Allah. De même qu’il n’est pas permis d’employer un moyen d’entre les moyens qui mènent à cette législation humaine qui concurrence la législation d’Allah comme l’élection des membres du parlement ou de l’assemblée nationale afin qu’ils légifèrent avec Allah ou en dehors de Lui car en vérité ceci revient à choisir des seigneurs qui sont adorés en dehors d’Allah. Ceci contredit l’attestation « il n’y a de vraie divinité qu’Allah » car l’unicité dans le jugement fait partie de l’unicité dans l’adoration, ceci doit être bien compris…
Puis il a dit plus loin: Quant à l’association dans l’obéissance et dans le suivi, c’est donc désobéir au Seigneur de l’univers, sortir de Sa législation, ne pas accepter Son décret et Son jugement dans toutes les affaires ou dans certaines … et ce que l’on appelle les élections libres sont une passerelle claire vers ce type d’association (shirk)…
Puis il dit: C’est donc pour cela que ce qu’on appelle « élections libres » ne nous convient pas et ne convient pas à notre terre, pire, cela ne convient pas aux peuples de la région car cela a des conséquences qui contredisent la foi comme nous l’avons démontré. Et la foi en Allah et en Sa législation ne se mélange pas au système démocratique auquel on parvient par les élections libres et le multipartisme… extrait de Haqiqa ad-democratiyah. (La réalité de la démocratie)
Dans un autre passage il dit: Le moufti qui fait une fatwa permettant (aux gens) de légiférer, contredit la législation d’Allah en la prenant en dérision. C’est comme si sans s’en rendre compte il disait: « Il est permis à l’homme d’être l’associé d’Allah et de légiférer avec Lui pour l’intérêt public ou pour être au service des mouslims !! »
Shaykh Rabî’ Ibn Hâdî Al-Madkhali : 
Il a dit dans une de ses répliques à ‘Adnân ‘Ar’our :
Pourquoi tu as oublié les savants de la Sounna qui sont les plus enracinés des gens dans la ‘aqidah, le minhaj et la connaissance de l’actualité. Et qui sont ceux qui se dressent le plus en face de ce que tu as cité. Et parmi eux shaykh al Albâny, il est celui qui a vraiment enseigné aux gens à combattre les élections, les révoltes, les grèves, pas Said Qotb ni personne d’autre que lui d’entre les gens de la bid’ah. Nous n’avons connu al Albâny que contre ces égarements.
Il a dit dans sa dernière réplique à Abou al Hassan al misry:
Ta parole: Quant aux élections c’est une question d’ijtihad (effort d’analyse)
Je dis (cheikh Rabi’): Il n’est pas permis de dire que les élections sont une question d’ijtihad.
Ceci fait plutôt partie des égarements, c’est un pilier de la démocratie mécréante, une invention des juifs et des chrétiens…
Dans un autre passage de cette réplique il dit: C’est toi qui voit qu’elles sont permises (les élections), ainsi que ceux qui te suivent aveuglément parmi ceux qui sont sur ton minhaj. Quant aux salafis, ils n’ont cessé d’être sur leur position islamique ferme. N’essaie donc pas de tromper (les gens) en faisant des élections démocratiques une question sur laquelle les salafis divergent. Le grand savant al Albâny a détruit l’association Ihya at-tourath du Koweït qui se fanatise pour l’égarement, juste à cause de sa hizbiyyah qui l’a poussé à participer aux élections démocratiques. Et son mal s’est considérablement accru par rapport à ce sur quoi elle était à l’époque d’al Albâny.